Fonds de recherche du Québec : consultation citoyenne
Inspirez les futures actions du FRQ
Impact d'une utilisation plus rationnelle des déchets de bois
Beaucoup de matière ligneuse résiduelle est enfouie. On la transporte et paye pour l'enfouir dans des sites de plus en plus pleins. Le méthane (GES) qu'elle rejette est peu utilisé. En organisant la récolte, la mise en copeaux et le brûlage local pour le chauffage, on favoriserait l'autonomie des régions, libérerait des milliers de kw d'électricité, diminuerait l'usage du pétrole et aiderait l'environnement. Les brûleurs actuels émettent très peu de particules fines, moins que le mazout.
Liste des soutiens
Signaler un contenu inapproprié
Ce contenu est-il inapproprié ?
Détails du commentaire
Vous ne voyez qu'un seul commentaire
Voir tous les commentaires
Votre proposition omet plusieurs faits cruciaux. Les chaudières aux granules de bois émettent 15 fois plus de particules fines que le mazout et 300 fois plus que le gaz naturel par unité d'énergie produite (source, p. 51 : https://consult.defra.gov.uk/environmental-quality/clean-air-strategy-consultation/user_uploads/clean-air-strategy-2018-consultation.pdf).
Au Québec, où l'électricité provient majoritairement de l'hydroélectricité, parler de « libérer des kW » en brûlant du bois est complètement absurde. La combustion résidentielle de biomasse solide est la principale cause de décès liés à l'environnement, avec des coûts socio-économiques annuels de 11 G$.
Enfin, il aurait été judicieux de préciser que vous êtes à l’emploi d’une entreprise faisant la promotion de la combustion de biomasse. D'autres solutions, comme la biométhanisation ou l’utilisation des copeaux pour enrichir les sols, sont bien plus durables et responsables.
Chargement des commentaires ...