Ensemble pour la recherche !
Le scientifique en chef veut savoir vos orientations pour la recherche au Québec
Changements sur "Investir dans la mutualisation des connaissances acquises grâce à l’approche living lab"
Corps du texte
-
-["
L’approche living lab s’impose de plus en plus pour adresser des enjeux sociétaux dans de nombreux domaines très diversifiés.
Le Québec voit des living labs essaimer un peu partout sur son territoire. Ils se situent à la croisée de nombreuses disciplines : études urbaines, aménagement du territoire, innovation sociale, santé durable, autonomie des aînés/gérontologie, agriculture durable, …
Le monde de la recherche n’échappe pas à cet engouement pour l’approche living lab. L’ACFAS leur a ainsi consacré un chapitre transversal lors de son congrès annuel 2021.
Un axe de recherche peu exploité est celui qui envisage le living lab sous l’angle de la gestion de projets, et plus spécifiquement la gestion de projets publics.
On peut se questionner : Cette approche permet-elle rencontrer les attentes de départ et atteindre les objectifs fixés? Remplit-elle ses promesses en termes d’innovation, de cocréation de connaissances et de participation des usagers (citoyens, patients, consommateurs,…)? Quels sont les défis rencontrés par les living labs et quelles solutions y apportent-ils?
Mais aussi: Y aurait-il une plus-value à ce que les livings lab présents sur le territoire se structurent en réseau afin de mutualiser leurs connaissances et expertises respectives? D’autres réseaux internationaux existent déjà. La question d’un réseau québécois est-elle pertinente?
"] -
+["
L’approche living lab s’impose de plus en plus pour adresser des enjeux sociétaux dans de nombreux domaines très diversifiés.
Le Québec voit des living labs essaimer un peu partout sur son territoire. Ils se situent à la croisée de nombreuses disciplines : études urbaines, aménagement du territoire, innovation sociale, santé durable, autonomie des aînés/gérontologie, agriculture durable, …
Le monde de la recherche n’échappe pas à cet engouement pour l’approche living lab. L’ACFAS leur a ainsi consacré un chapitre transversal lors de son congrès annuel 2021.
Un axe de recherche peu exploité est celui qui envisage le living lab sous l’angle de la gestion de projets, et plus spécifiquement la gestion de projets publics.
On peut se questionner : Cette approche permet-elle rencontrer les attentes de départ et atteindre les objectifs fixés? Remplit-elle ses promesses en termes d’innovation, de cocréation de connaissances et de participation des usagers (citoyens, patients, consommateurs,…)? Quels sont les défis rencontrés par les living labs et quelles solutions y apportent-ils?
Mais aussi: Y aurait-il une plus-value à ce que les livings lab présents sur le territoire se structurent en réseau afin de mutualiser leurs connaissances et expertises respectives? D’autres réseaux internationaux existent déjà. La question d’un réseau québécois est-elle pertinente?
Annabel Thise
"]