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Changes at "Se pencher sur la culture axée sur la performance en milieu universitaire et prévenir l'épuisement des chercheur-euses en début de carrière"

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En tant que candidat au doctorat et ergothérapeute en santé communautaire, j'observe des taux importants d'épuisement chez les jeunes chercheur-euses et des chercheur-euses en début de carrière et j'avoue être préoccupé par l'avenir de ce choix professionnel. Plusieurs écrits récents ont documenté les répercussions importantes de la pandémie sur de nombreux membres du corps professoral, touchant davantage les femmes et les personnes à statut précaire (voir ci-dessous). Dans le cadre de leur planification stratégique, je propose donc que les FRQ se penchent sur la culture axée sur la performance au sein des milieux universitaires et ses répercussions sur la santé psychologique des jeunes chercheur-euses en début de carrière. La relève n'est pas épargnée par les conséquences de cette culture qui pourrait à bien des égards être qualifiée de toxique. Autant d'un point de vue de l'évaluation de la performance que du financement des centres de recherche soumis à ces critères d'évaluation, je me questionne sur le rôle stratégique que pourraient jouer les FRQ dans la prévention de l'épuisement professionnel dans l'environnement de la recherche académique au Québec. À mon humble avis de futur chercheur, ces efforts devraient chercher à renverser une tendance inquiétante en vue de rendre la carrière académique toujours plus attrayante et stimulante pour la relève, véritable raison d'être des FRQ.

En guise de complément, je vous partage les articles suivants:

https://policyoptions.irpp.org/fr/magazines/october-2020/la-pandemie-a-aggrave-le-stress-chez-les-professeures-duniversite/

https://spuq.uqam.ca/documents/x_documents/528_spuq-info_310.pdf

https://www.theguardian.com/higher-education-network/2014/mar/06/mental-health-academics-growing-problem-pressure-university

https://thefulcrum.ca/news/u-of-o-research-profs-report-poor-accommodations-at-work/
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+["En tant que candidat au doctorat et ergothérapeute en santé communautaire, j'observe des taux importants d'épuisement chez les jeunes chercheur-euses et des chercheur-euses en début de carrière et j'avoue être préoccupé par l'avenir de ce choix professionnel. Plusieurs écrits récents ont documenté les répercussions importantes de la pandémie sur de nombreux membres du corps professoral, touchant davantage les femmes et les personnes à statut précaire (voir ci-dessous). Dans le cadre de leur planification stratégique, je propose donc que les FRQ se penchent sur la culture axée sur la performance au sein des milieux universitaires et ses répercussions sur la santé psychologique des jeunes chercheur-euses en début de carrière. La relève n'est pas épargnée par les conséquences de cette culture qui pourrait à bien des égards être qualifiée de toxique. Autant d'un point de vue de l'évaluation de la performance que du financement des centres de recherche soumis à ces critères d'évaluation, je me questionne sur le rôle stratégique que pourraient jouer les FRQ dans la prévention de l'épuisement professionnel dans l'environnement de la recherche académique au Québec. À mon humble avis de futur chercheur, ces efforts devraient chercher à renverser une tendance inquiétante en vue de rendre la carrière académique toujours plus attrayante et stimulante pour la relève, véritable raison d'être des FRQ.En guise de complément, je vous partage les articles suivants:https://policyoptions.irpp.org/fr/magazines/october-2020/la-pandemie-a-aggrave-le-stress-chez-les-professeures-duniversite/https://spuq.uqam.ca/documents/x_documents/528_spuq-info_310.pdfhttps://www.theguardian.com/higher-education-network/2014/mar/06/mental-health-academics-growing-problem-pressure-universityhttps://thefulcrum.ca/news/u-of-o-research-profs-report-poor-accommodations-at-work/"]

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En tant que candidat au doctorat et ergothérapeute en santé communautaire, j'observe des taux importants d'épuisement chez les jeunes chercheur-euses et des chercheur-euses en début de carrière et j'avoue être préoccupé par l'avenir de ce choix professionnel. Plusieurs écrits récents ont documenté les répercussions importantes de la pandémie sur de nombreux membres du corps professoral, touchant davantage les femmes et les personnes à statut précaire (voir ci-dessous). Dans le cadre de leur planification stratégique, je propose donc que les FRQ se penchent sur la culture axée sur la performance au sein des milieux universitaires et ses répercussions sur la santé psychologique des jeunes chercheur-euses en début de carrière. La relève n'est pas épargnée par les conséquences de cette culture qui pourrait à bien des égards être qualifiée de toxique. Autant d'un point de vue de l'évaluation de la performance que du financement des centres de recherche soumis à ces critères d'évaluation, je me questionne sur le rôle stratégique que pourraient jouer les FRQ dans la prévention de l'épuisement professionnel dans l'environnement de la recherche académique au Québec. À mon humble avis de futur chercheur, ces efforts devraient chercher à renverser une tendance inquiétante en vue de rendre la carrière académique toujours plus attrayante et stimulante pour la relève, véritable raison d'être des FRQ.

En guise de complément, je vous partage les articles suivants:

https://policyoptions.irpp.org/fr/magazines/october-2020/la-pandemie-a-aggrave-le-stress-chez-les-professeures-duniversite/

https://spuq.uqam.ca/documents/x_documents/528_spuq-info_310.pdf

https://www.theguardian.com/higher-education-network/2014/mar/06/mental-health-academics-growing-problem-pressure-university

https://thefulcrum.ca/news/u-of-o-research-profs-report-poor-accommodations-at-work/
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+["En tant que candidat au doctorat et ergothérapeute en santé communautaire, j'observe des taux importants d'épuisement chez les jeunes chercheur-euses et des chercheur-euses en début de carrière et j'avoue être préoccupé par l'avenir de ce choix professionnel. Plusieurs écrits récents ont documenté les répercussions importantes de la pandémie sur de nombreux membres du corps professoral, touchant davantage les femmes et les personnes à statut précaire (voir ci-dessous). Dans le cadre de leur planification stratégique, je propose donc que les FRQ se penchent sur la culture axée sur la performance au sein des milieux universitaires et ses répercussions sur la santé psychologique des jeunes chercheur-euses en début de carrière. La relève n'est pas épargnée par les conséquences de cette culture qui pourrait à bien des égards être qualifiée de toxique. Autant d'un point de vue de l'évaluation de la performance que du financement des centres de recherche soumis à ces critères d'évaluation, je me questionne sur le rôle stratégique que pourraient jouer les FRQ dans la prévention de l'épuisement professionnel dans l'environnement de la recherche académique au Québec. À mon humble avis de futur chercheur, ces efforts devraient chercher à renverser une tendance inquiétante en vue de rendre la carrière académique toujours plus attrayante et stimulante pour la relève, véritable raison d'être des FRQ.En guise de complément, je vous partage les articles suivants:https://policyoptions.irpp.org/fr/magazines/october-2020/la-pandemie-a-aggrave-le-stress-chez-les-professeures-duniversite/https://spuq.uqam.ca/documents/x_documents/528_spuq-info_310.pdfhttps://www.theguardian.com/higher-education-network/2014/mar/06/mental-health-academics-growing-problem-pressure-universityhttps://thefulcrum.ca/news/u-of-o-research-profs-report-poor-accommodations-at-work/"]

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Version author

Pier-Luc Turcotte

Version created at 30/10/2021 12:38