Ensemble pour la recherche !
Le scientifique en chef veut savoir vos orientations pour la recherche au Québec
Changements sur "Souveraineté alimentaire"
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Bonjour,
Le gouvernement devrait se préoccuper de notre facilité à produire les aliments pour nous nourrir en passant un projet de loi pour interdire la vente de nos terres agricoles à des intérêts étrangers. On a vu l'effet que l'absence d'infrastructures de production de produits médicaux et de médicaments a eu au début de la pandémie, imaginez ce qu'il en serait si on ne pouvait plus se nourrir convenablement parce que nos terres ne nous appartenaient plus. N'attendons pas la catastrophe. Prenons les mesures qui s'imposent en s'assurant que nos terres appartiennent à des gens d'ici. Il faudrait aussi faciliter l'achat des terres par des particuliers, et non par des consortiums comme on l'a vu il n'y a pas si longtemps. L'ère des serfs et des seigneurs est terminée depuis plusieurs siècles. Assurons-nous de ne pas concentrer la richesse chez les plus riches en obligeant les plus démunis à travailler pour les plus riches. Les terres agricoles doivent être exploitées par les propriétaires, pas par des employés au profit des plus riches. Facilitons l'accès aux terres agricoles aux Québécois qui veulent travailler la terre.
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Bonjour,
Le gouvernement devrait se préoccuper de la qualité de nos terres agricoles en limitant les pesticides de synthèse et en interdisant les produits comme le glyphosate. Des recherches sur les méthodes d'agriculture biologiques pour accroître le nombre de producteurs respectueux de la nature seraient intéressantes. De plus, le gouvernement devrait se préoccuper de notre facilité à produire les aliments pour nous nourrir en passant un projet de loi pour interdire la vente de nos terres agricoles à des intérêts étrangers.
On a vu l'effet que l'absence d'infrastructures de production de produits médicaux et de médicaments a eu au début de la pandémie, imaginez ce qu'il en serait si on ne pouvait plus se nourrir convenablement parce que nos terres ne nous appartenaient plus. N'attendons pas la catastrophe. Prenons les mesures qui s'imposent en s'assurant que nos terres sont fertiles, que les méthodes utilisées ne nuisent pas à la santé de la population et de la nature, notamment des abeilles, et qu'elles appartiennent à des gens d'ici. Il faudrait aussi faciliter l'achat des terres par des particuliers, et non par des consortiums comme on l'a vu il n'y a pas si longtemps.
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